Le 11, à partir de Méry, est organisée une contre-attaque, dirigée par Mangin, avec trois divisions françaises et deux divisions américaines, qui prend de flanc l'Armée Allemande et force Ludendorff à mettre fin à l'opération le lendemain.
Le 231ème RAC va participer à cette contre-offensive sur le flanc droit de l'Armée allemande.
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Ces combats sont violents. Là aussi, Noël note la grande présence de l'aviation allemande et alliée. Les batteries sont encore plus bombardées qu'auparavant, car le repérage fait des progrès. Si des innovations ont déjà été notées depuis le début de l'année 1918, il faut toutefois en mentionner d'autres : ainsi est-il du char de combat, le tank, utilisé par les Anglais et les Français, cette fois à grande échelle et avec des missions plus précises. (En fait, les tanks avaient déjà été utilisés dans la bataille de la Somme)
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Une autre nouveauté est aussi à noter : "Le coup de main", sorte d'opération commando, plus ou moins calquée sur les "Stosstruppen" devient une opération tactique de plus en plus utilisée.
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Ces combats près du Matz se poursuivent durant le mois de juin, de juillet et d'août.